Comment les médecins traitent-ils l’éjaculation précoce ?

Comme les causes, les conséquences sont multiples. Elles touchent directement l’homme, bien sûr, mais aussi sa ou son partenaire. D’où l'insatisfaction, une anxiété grandissante et, dans certains cas, une dysfonction érectile. Au-delà de la simple performance, c’est la qualité de vie et la complicité dans le couple qui sont affectées. Alors, comment les professionnels traitent-ils l’éjaculation précoce ?

Un trouble fréquent dont la société parle peu 

L’éjaculation prématurée est un trouble sexuel reconnu par la médecine interne et abondamment décrit dans les manuels cliniques. Elle est définie par un temps de latence éjaculatoire trop court (moins d’une à deux minutes après la pénétration), une incapacité à contrôler le réflexe et des conséquences négatives, quelquefois désastreuses, sur la vie sexuelle de l'homme. Pourtant, il n'y a pas de drame. L'inconfort, la crainte, le résultat décevant ou ce qui passe pour anomalie ne sont souvent que des conséquences de déséquilibres. À cet égard, l'éjaculation précoce est un excellent exemple. Selon plusieurs études comparatives (telles que celle que la Société Francophone de Médecine Sexuelle), jusqu'à 30 % des hommes sont concernés à un moment de leur vie. Le mécanisme est complexe, mêlant facteurs psychologiques, hormonaux et physiques :

• hypersensibilité du pénis,
• stress et anxiété de performance,
• dysfonction sexuelle ou dysfonction érectile associée,
• influence possible du cerveau (déséquilibre de la sérotonine).

Les chercheurs notent que les patients rapportent autant l’impact psychologique que physique, avec un cercle vicieux : plus l’homme anticipe une éjaculation trop rapide, plus elle survient.

Les traitements médicamenteux : efficacité et limites

En médecine, plusieurs solutions médicamenteuses sont prescrites. Parmi elles, on retrouve les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) comme la dapoxétine (commercialisée sous le nom Priligy). Ce médicament, pris en dose unique une heure avant le rapport sexuel, peut allonger le temps de latence.

D’autres antidépresseurs (paroxétine, sertraline) sont parfois prescrits en faible dose, mais leur efficacité s’accompagne d’effets secondaires : nausées, fatigue, baisse du désir sexuel, voire dysfonction érectile. De nombreux patients mettent un terme au traitement pour cette raison.

Les anesthésies locales existent également : crèmes topiques, sprays ou préservatifs désensibilisants. Il est regrettable, cependant, que ces solutions diminuent la sensibilité, gênent quelquefois la partenaire et entraînent une perte de plaisir.

Enfin, quelques interventions plus invasives sont à l’étude, comme les injections d’acide hyaluronique ou la cryoneurolyse sur le nerf dorsal du pénis. Ces actes, réalisés en chirurgie ambulatoire, restent réservés à des cas spécifiques, avec un risque de douleurs ou d’effets indésirables.

Chez Biocalma, nous avons entendu le désir de solutions plus douces, naturelles et sans effets secondaires. Dans un même mouvement, nous défendons aussi le principe d'une prise en charge globale.

Les approches comportementales et psychologiques

En consultation, les médecins insistent sur les techniques comportementales pour traiter l'éjaculation précoce. Voici les plus célèbres :

• la technique du stop-start, qui consiste à interrompre la stimulation avant le point « de non-retour » ;
• la technique du squeeze (compression douce du pénis pour interrompre l’excitation) ;
• les exercices de respiration et de relaxation pour diminuer le stress.

Ces approches sont utiles mais demandent du temps, de la pratique et, le plus souvent, un accompagnement par le thérapeute ou un professionnel de santé sexuelle.

Les thérapies psychologiques (thérapies cognitivo-comportementales), quant à elles, aident à traiter l’anxiété, à renforcer la confiance en soi et à briser le cercle vicieux du trouble sexuel. Tous les patients, malheureusement, n’ont pas la possibilité d’entamer un long suivi. En effet, en plus d'être coûteux, il s'agit de partager son intimité avec un spécialiste, ce qui n'est pas toujours aisé.

Les solutions naturelles : une approche moderne et efficace

C’est la raison pour laquelle les médecins et de nombreux sexologues valorisent aujourd'hui les solutions naturelles. Elles s’intègrent à la prise en charge comme un soutien efficace aux techniques comportementales et une alternative crédible aux médicaments. Comme les troubles de l'érection, l'éjaculation précoce est souvent due à des facteurs psychologiques. Il s'agit alors de repenser l'association entre le corps et l'esprit, de mener vers des produits pouvant lutter contre l'insatisfaction avec des résultats probants et sans effets secondaires.

L’huile CBD Optima de Biocalma

Le CBD est étudié pour ses propriétés relaxantes et régulatrices du système nerveux. En réduisant l’anxiété et en favorisant un état d’équilibre émotionnel, l’huile CBD Optima 20 % de Biocalma aide à prolonger le rapport sexuel. Composition : extrait de chanvre naturel, riche en cannabinoïdes. Utilisation : quelques gouttes régulières sous la langue pour agir en profondeur. Effet attendu : diminuer le stress, améliorer le contrôle de l’éjaculation et préserver la fonction sexuelle sans interférer avec le plaisir. Contrairement à un médicament comme le Priligy, cette solution naturelle ne provoque ni dysfonctionnement sexuel, ni fatigue. Elle s’inscrit dans une logique de santé globale, en renforçant l’équilibre du patient. À noter que cette huile est proposée avec différents taux de concentration de CBD (10, 20 ou 30 %). Et, bien évidemment, elle est dépourvue de THC.

Le lubrifiant Hydrox

Le rapport sexuel trop rapide est souvent causé par une hypersensibilité du gland. Notre lubrifiant Hydrox, à base d’eau et d’actifs naturels, réduit la sensibilité excessive de l'homme tout en respectant la flore intime de la femme. Effet : il hydrate, diminue les frottements et prolonge le temps de pénétration. Particularité : il ne provoque pas d’engourdissement gênant, contrairement à certaines crèmes ou sprays. Avantage : il améliore le confort du couple, sans nuire à l’excitation sexuelle.

Le gel retardant Evo

Appliqué quelques minutes avant l’acte, ce gel retardant permet de différer l’éjaculation sans altérer le plaisir. Formule naturelle, texture douce. Pas d’effets indésirables pour la partenaire. Peut être combiné avec le lubrifiant Hydrox pour renforcer le confort. En association, ces trois solutions Biocalma forment une combinaison cohérente : L’huile CBD Optima agit en profondeur sur le cerveau et la gestion de l’anxiété, Le lubrifiant Hydrox améliore la fluidité du rapport, Le gel retardant Evo cible la sensibilité locale du pénis. Il faut savoir que cette approche respectueuse de la physiologie masculine est recommandée par de nombreux médecins en première intention, avant d’envisager des traitements médicamenteux lourds.

Tableau comparatif : solutions médicamenteuses VS solutions naturelles

En conclusion

Les solutions naturelles comme celles proposées par Biocalma offrent une alternative contemporaine, sûre et respectueuse du corps. Elles répondent au besoin des patients d’un traitement efficace sans les contraintes d’une prescription lourde. Le problème n'en est un que lorsque l'on reste seul face à lui. Au fond, éjaculer est un acte naturel, mais savoir retarder l’éjaculation est un apprentissage, une question d’équilibre, de connaissance de soi et de respect du plaisir partagé.

Sources :

Société Francophone de Médecine Sexuelle

Les Manuels MSD

Ameli.fr